Alice Guy dès l’origine, croit au film parlant. En 1902, elle utilise un appareil, le "Chronophone Denenÿ," qui combine l’enregistrement sonore sur rouleau de cire et l’image filmée. L’essentiel de l’activité d’Alice Guy entre 1902 et jusqu’au printemps 1907 consistera à réaliser 160 phonoscenes pour le chronophone. Dépassant rarement une ou deux minutes, ils reproduisent surtout des chanteurs en action ou des tableaux illustrés par des chorals.
samedi 17 mai 2008
GEORGES DEMENY ALICE GUY PHONOSCENE
ALICE GUY UTILISE L'INVENTION DE GEORGES DEMENY,INVENTEUR GENIAL,
LE "CHRONOPHOTOGRAPHE-DEMENY" POUR TOURNER SES PHONOSCENE
VERS 1903 PREMIER SON SINCRO DE L'HISTOIRE DU CINEMA
Alice Guy dès l’origine, croit au film parlant. En 1905, elle utilise un appareil, le "chronophone", qui combine l’enregistrement sonore sur rouleau de cire et l’image filmée. L’essentiel de l’activité d’Alice Guy en 1906 et jusqu’au printemps 1908 consistera à réaliser 160 phonoscenes pour le chronophone. Dépassant rarement une ou deux minutes, ils reproduisent surtout des chanteurs en action ou des tableaux illustrés par des chorals. Après les Ballets de l’Opéra (avec Gaillard et la maîtresse de ballet), les Sœurs Mante danseuses mondaines, elle enregistre la classe de Rose Caron du Conservatoire dans Carmen, Mignon, Manon, les Dragons de Villars, les Cloches de Corneville, Madame Angot, la Vivandière, Fanfan la Tulipe, le Couteau de Théodore Botrel. Elle enregistre à la faveur d’un voyage en Espagne des Danses gitanes. Viendront interpréter leur répertoire devant sa caméra et ses enregistreurs : Mayol, Dranem et Polin.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire